Rencontre corsée ~ [Arencia/Himeru]

Arencia avait décider de s'accorder une pose dans un petit café de Rome après une longue mission.
Elle s’assit à une table près de la fenêtre, ayant ainsi tout le loisir de regarder les passants.
Elle commanda froidement un cappuccino au serveur chauve.

Elle se détacha finalement de la vue de dehors quand sa commande arriva. Elle remarqua ainsi bon nombre de gens louchent.
Son intérêt piquée à vif, elle regarda chaque personne présente dans le café.
Un client plus qu'un autre retint son attention. Il était assez grand, porter un costard, paraissait bien sur de lui et parler avec le dit serveur chauve qui semblait terrorisé.
Elle regarda patiemment l’échange des deux hommes, jusqu'au moment où un élément perturbateur fit son apparition. De ce que compris Arencia, c’était la femme du chauve, qui demander à l'homme en costard de laissait son mari tranquille car dans le cas contraire elle appellerait la police.
Cette réplique fit pouffer le Nuage, comme si la police allait se déplacer pour régler une simple bagarre client/gérant.

Finissant sa boisson elle décida d'aller intervenir.
Enfin...elle allait intervenir, mais l'homme en costard ne lui en laissa pas le temps prenant une petite fille en otage pointant un couteau sous sa gorge.
La plus part des hommes suspects remarqués plus tôt par la jeune femme, sortirent eux, des pistolets pointer vers quasiment tous les clients.

- Ceci est une prise d'otage !

Hurla l'homme, serrant toujours plus la fillette.

Se pinçant l’arrête du nez devant le ridicule de l'homme, Arencia chercha un moyen rapide et simple d’éliminé tous les mafieux -car elle en était maintenant sure c’était une petite famille mafieuse cherchant à se faire connaître en faisant du grabuge dans un bar- le tout sans blesser de civil.
Finalement elle opta pour la plus facile, celle de foncer dans le tas, enfin elle aurait du foncer dans le tas mais une cliente attira son attention...

Le ciel lumineux de Rome éblouit la ville. La population était agitée, bien trop pour la rouge. Ruri était de passage à Rome pour mission. Une simple mission de routine, mais la lumière du soleil agacée la jeune fille qui décida de se réfugier dans un café un peu éloigné du monde. Elle rentra par l'entrée secondaire. Le lieu était familial. Le personnel ne semblait pas à l'aise, réaction normale, puisqu'une jeune femme portant une capuche noire dont on ne voyait pas le visage, c'était fort inquiétant. Un petit serveur chauve poussa un jeune homme pour qu'il accueille leur nouvelle cliente:

- Bon..Bonjour, vous désirez une table pour une personne ?

Ruri regarda le jeune homme. Les yeux améthyste de la Scarletto le figèrent. Elle hocha la tête, pour confirmer la demande. Le serveur surpris l'accompagna à sa table. Le couvert était basique une fourchette , un couteau et un verre. La table donnée vue sur l'entrée principale. Un aquarium avec des poissons marins ce tenez à côté. La rouge s'assis et regarda la carte un court instant, le jeune homme était troublé, il n'avait jamais vu une couleur pareil. Il sursauta lorsque Ruri lui passa commande:

- Je voudrais un café noir et bien corsé s'il vous plaît.
- Bi...Bien mademoiselle !

Le jeune ne perdit pas sont temps et amena rapidement la commande de Ruri. Elle lui fit de nouveau signe de la tête pour le remercier. Les autres clients l'observer car depuis qu'elle était arrivée elle n'avait pas ôté sa capuche. Elle repensa à sa mission en observant autour d'elle. La Scarletto se mais a compté.

- 1... 2 ... 3 ... 12.

Des murmures et de l'agitation se fis sentir. Un grand homme vêtu d'un costard fit éruption dans la salle, suivit de ses sbires. Il chercha du regard et s'approcha du serveur chauve. L'homme et le gérant discutèrent. Ruri observa la scène de sa place. La femme du petit chauve entra dans la conversation, en les menaçant d'appeler la police. Les autres clients s'affolèrent, sauf une qui pouffa un petit rire mais la Scarletto ne s'arrêta pas sur ce détail et prit une gorgée de son café.
L'homme en costard attrapa une petite fille et mit un couteau sous sa gorge. Au même moment ces hommes derrière lui et les douze autres cachés dans la salle sortirent leurs pistolets.

-Ceci est une prise d'otage !

L'homme continua:

-Que tous le monde sortent sauf le gérant !

Les clients s'affolèrent et l'agitation étaient à son comble. Les personnes sortaient de tous les côtés. Cette famille de sous-mafieux avait reussi leurs coups jusqu'au moment où il ne restait plus qu'eux, ils se rendirent compte de la présences des deux jeunes filles. Deux personnes étaient restées à leur place. L'une était près de la fenêtre, ces long cheveux blancs et ses yeux clairs ne passaient pas inaperçus. Ruri remarqua que c'était celle qui pouffa de rire tout à l'heure. Les hommes se divisèrent , un groupe s'avançait vers la mystérieuse cliente et l'autres vers Ruri.

- Ho vous comprenez pas, on vous a dis de dégager ! Le Boss veux lui parler !

Ruri finit de boire ça tasse et se leva. Le groupe d'hommes reculèrent et menacèrent de tirer. Mais la rouge ne broncha pas. D'un vif coup d'oeil, elle voyait que leurs 'Boss' tenait toujours la petite fille en otage. Elle soupira un instant et d'un bond partie dans les airs. Elle se retrouva derrière le groupe d'hommes et sauta de table en table jusqu'à leurs Boss. Surpris l'homme n'eu pas le temps de hurler c'est ordre, que la rouge lui avait fait une clé de bras et lui mit le couteau du couvert sous la gorge. Les cheveux rouges de la Scarletto suivirent ses mouvements. L'homme lâcha sont couteau. La petite fille tomba assise au sol.

Pendant que le Nuage fixer la mystérieuse fille assise à une table sirotant tranquillement un café, un des sous-fifre de l'homme à costard continua.

- Que tous le monde sortent sauf le gérant !

Arencia arqua un sourcil. Elle n'allait sûrement pas sortir avant d'avoir fait la peau a cette famille de bon à rien. Et puis la femme capuchonnée l'avait interloquée car elle non plus n'avait pas bougée d'un poil en entendant la phrase du sous-fifre.

Un autre sbire s'approcha d'Arencia et un autre de la cliente mystérieuse qui ne passait pas inaperçue avec sa capuche.

- Et toi ! On t'as dit de dégager ! Le Boss veut parler avec le chauve !

Sans quitter des yeux la femme en noire, Arencia sourit allègrement au sous-fifre.
Le dit sous-fifre aller répliquer, mais en tournant la tête il vit la scène qui se déroule sous les yeux ahuris de tous sauf ceux d'Arencia amusée.

La jeune femme avait bondie d'un seul coup dans les airs, et sauter présentement de table en table pour rejoindre le "Boss", qui tenait toujours la fillette. Surpris de la soudaine attaque de la fille aux cheveux rouge, l'homme n’eut pas le temps de crier d'ordres, qu'elle lui avait fait une clef de bras et lui pointer le couteau de la table sur le coup.
La gamine se retrouva les fesses au sol, Arencia ayant suivie la scène avec un intérêt grandissant pour la femme aux cheveux rouge, siffla en guise d’applaudissement.
Arencia remarqua aussi la mine décomposée du sous-fifre qui l'avait au auparavant interpellée, elle profita de cette occasion pour passer derrière lui et lui casser le coup. Il tomba raide sur le sol.

Arencia s’avança sans un bruit vers un autre des sbires à sa gauche et lui faire subir le même châtiment qu'a son camarade.
Elle regarda la petite fille qui s’était jeter dans les bras de sa mère. Elle n'était apparemment pas blessée et ne semblait pas plus traumatisée que ca.

En voyant le carnage que les deux filles avait fait la plupart des sous-fifres décidèrent de prendre leur jambes à leur coup sauf un qui cria vaguement ne jamais abandonner son Boss.

Arencia de son coté se rassie à sa table attendant un mouvement de l'autre femme pour l’interpellée, n'ayant rien à craindre des sous-mafieux restants.

La fillette se releva et couru dehors rejoindre sa mère. Ruri soupira de nouveau. Le grabuge de l'autre cliente l'interpella. Les hommes tombés tels des fruits mûrs. La rouge continua d'observait la jeune femme qui après avoir fini son affaire retourna à sa place. La Scarletto ignora ses sifflements. Les autres sbires de l'homme fuirent devant les deux jeunes femmes. Sauf un ayant foi en son Boss hurla qu'il resterait avec lui. Ruri n'avait pas de temps à perdre... Elle regarda l'homme droit dans les yeux. Le regard améthyste lancé par la Scarletto glaça littéralement l'homme, qui tomba dans les pommes. Le Boss resta figé devant cette scène, il se réveilla et essaya de se débattre mais Ruri lui cassa le bras et la jambe. L'homme s'effondra au sol, hurlant ça douleur.

- QUI ETES VOUS ? VOUS N’ÉTIEZ PAS PRÉVUE DANS NOTRE PLAN !!

Ruri jeta un coup d'oeil à l'autre jeune femme, et ne sentis pas de menace imminente. Elle ce baissa et fouilla dans son manteau quelque chose. Elle sortit un papier possédant une flamme orange sur le haut. L'homme écarquilla les yeux, la jeune femme ouvris légèrement la bouche.

- ... Roberto Brutalizzati
- TU VEUX QUOI !!

L'homme se débattait et essayait d'attraper le couteau qui était à un mètre de lui. La rouge se leva sous le bruit des claquements de portes venant du dehors, elle remit sa capuche . Des policiers entrèrent dans le café, leur chef passa entre c'est homme. À ses côtés un homme en costard noir tenait une enveloppe sur laquelle on voyait de nouveau une flamme orange. Des hommes relevèrent le Boss de la sous-famille et l'emmenèrent. L'homme en costard s'avança vers Ruri et lui donna le papier.

- Comme promis voilà ce que tu nous à demander.

La rouge pris l'enveloppe et se dirigea vers la porte sous les injures de l'homme blessé. Elle jeta un oeil à la femme mystérieuse pour imprimer son visage dans sa mémoire même si elle ne la rêverait plus, du moins c'est ce qu'elle pensait. Les hommes regardèrent la jeune femme assise au fond de la salle. Ils s'écartèrent et formèrent un passage pour laisser Ruri sortir. Ils étaient mal à l'aise. Le chef de la brigade s'approcha de l'homme en costard.

-Qui est ce ?

L'homme au costard murmura avec un léger sourire moqueur.

- Un ciel nocturne écarlate...

Le policier ne compris pas trop mais il se rappela de l'autre jeune femme et la regarda.

- Pardon, mais qui êtes vous ?

Arencia se sentait observer par la jeune femme aux yeux améthystes. Ça paranoïa se réveilla, mais tentant tant bien que mal de se rasseoir le plus naturellement du monde après avoir finie son "nettoyage".
Regardant finalement à son tour la rouge, elle vit cette dernière regarder profondément dans les yeux du sous-fifre, ce dernier tomba d'ailleurs dans les limbes de l’inconscient. Il se réveilla bien vite, sous le regard amusé d'Arencia, il se débâtit, du moins ils essaya, mais la femme en noir lui cassa le bras et la jambe. Alors qu'il agoniser au sol il cira.

- QUI ETES VOUS ? VOUS N’ÉTIEZ PAS PRÉVUE DANS NOTRE PLAN !!

Arencia souffla pour elle même

- Parce que maintenant y avait un plan ? Ça ressemblait plutôt à du n'importe quoi...

Pendant quelle critiquer les mafieux de dernière classe l'autre femme lui jeta un rapide coup d’œil, mais ne vit apparemment pas de menace en sa personne au vu de ses actions suivantes. Elle sortit de son manteau un papier possédant une flamme orange.
Arencia arqua violemment les sourcils.
Encore plus lorsque la rouge dit le nom suivant.

- ... Roberto Brutalizzati

Vraiment le Nuage ne comprenait plus.

- TU VEUX QUOI !!

Hurla "Roberto", qui essaya en même temps d'attraper le couteau à quelques centimètres de lui.

Arencia entendit le bruits de portes qu'on ouvrent rapidement, et vit la femme remettre sa capuche en place. Finalement la police était venue à la grande surprise d'Arencia.
La suite des mouvements passa rapidement aux yeux sans pupilles du Nuage. Plusieurs policiers emmenèrent le Boss de la sous-famille et un autre donna un papier orner d'une flamme orange à la fille aux cheveux écarlate et lui dit quelques mots incompréhensibles dans le brouhaha pour Arencia.
Son intuition lui disait d'ailleurs que c’était ma première et sûrement par la dernière fois qu'elle reverrait cette femme, qui se dirigeait présentement vers la sortie.
En sortant elle lui jeta un dernier regard, que soutint Arencia quelques secondes avant que les policiers ne s’écartent pour la laissée sortirent mal à l'aise.

Le chef de brigade s'approcha de l'homme en costard et lui demanda.

- Qui est ce ?

L'homme au costard murmura avec un léger sourire moqueur.

- Un ciel nocturne écarlate...

Arencia leva un sourcil, ça ne lui apprenait absolument rien sur cette inconnue.

Elle se releva et pris son sac bien décidée à la rattraper.
Elle marcha rapidement vers la sortie, alors que le policier se rappelait de son existence.

- Pardon, mais qui êtes vous ?

Elle sourit furtivement, et répondit au tac au tac.

- Un nuage solitaire qui passait par là...

Elle regarda la tête ahurit du policier avant de sortir du café, décidée à faire un jeu de cache-cache avec la rouge qui avait réussie à attiser sa curiosité et il en fallait beaucoup au Nuage pour l’intéressé. Elle sourit encore en coin.

- Un nuage solitaire qui passait par là...

Malgrè la distance la rouge avait entendu la phrase de l'argentée. Cette réplique attisa la curiosité de la Scarletto, mais les évènements qui allait suivre réduit à néant sa curiosité. En sortant, celle-ci s’arrêta d'un coup. Tous les policiers appelaient en renfort était à terre. Quelque chose ce tramer, des hommes en costard noir et d'autres en tenue de civil se tenaient à côté des hommes assommés. Ruri passa discrètement sa main sous son manteau. Elle attrapa un cube qu'elle ouvrit et murmura d'une voix douce, un mot à deux syllabes. Soudain, une voix familière ce mis à hurler:

- Et alors ma jolie on s'y attendait pas ! Tu croyais vraiment pouvoir battre la Famiglia Brutalizzati !

La rouge leva les yeux et vit le Boss des Brutalizzati sur le toit de l'immeuble en face. Il semblait aller mieux. Un homme possédant une flamme jaune se tenait à ses côtés. La rouge compris et souffla quelques mots calmement:

-Une telle technologie entre leurs mains...

La rouge sentit l'argentée arrivait. Quand une autre voix ce mis à parler. L'homme en costard qui était au côté du policier sorti aussi du café. Ruri regarda attentivement l'homme à travers sa capuche. Le Boss des Brutalizzati continua:

- On l'a bien eu, n'est ce pas Dante.

Le dénommait "Dante'" n'écouta pas les paroles de l'autre Boss et regarda les deux jeunes femmes...

Finalement elle n'eut pas à chercher longtemps la rouge. Celle-ci était stopper peut après la sortie.
Arencia resta un peu en retrait ne préférant pas sortir pour le moment et regarder la suite des évènements. Elle remarqua aussi tout les policiers à terre, son froncement de sourcils s'accentua.
Une voix bien connue s'adressa à la jeune femme à capuche.

- Et alors ma jolie on s'y attendait pas ! Tu croyais vraiment pouvoir battre la Famiglia Brutalizzati !

Arencia souffla, et voilà que Roberto faisait des siennes, du haut de l'immeuble d'en face, il allait nettement mieux. Arencia compris assez rapidement comment. A ses côtés se tenait un homme possédant une flamme jaune.
C’était du délire, des sous-mafieux possédant des boites armes, quel gâchis.
Le Nuage entendit la rouge soufflait doucement, apparemment elle aussi avait compris, et dire ces mots.

- Une telle technologie entre leurs mains...

Ce qui ne surprit même pas l'argentée. Après tout son instinct lui disait que la rouge n’était pas une file normale.
Décidant de passée a l'action, Arencia s’avança lentement. En même temps qu'elle marchait l'homme en costard qui était aux cotes du policier sortit à son tour, la rouge le fixa et le Nuage lorgna l’échange tout en gardant un œil sur les actions de Roberto qui continua d'ailleurs à parler.

- On l'a bien eu, n'est ce pas Dante.

Le dit "Dante" ne l’écouta pas et regarda Arencia- maintenant postée aux cotée de la jeune femme- et la rouge.
Le Nuage sourit largement en s'adressant à la fille.

- On se les fait ?

L'argentée frémissait d'avance à la réponse de la rouge...

La rouge observait le dit Dante. Elle cherchait une solution quand soudain l'argentée -postée à ses côtés- sortie une phrase qui la surpris.

- On se les fait ?

Le nuage solitaire frémissait d'impatience en attendant la réponse de la Scarletto. L'argentée captiva entièrement l'attention du ciel nocturne , et réussit même à la faire sourire, un petit sourire cacher par sa capuche. La jeune femme n'était pas n'importe qui, la Scarletto prit conscience de ce fait. Mais elle n'eut pas le temps de répondre à cette invitation, que Dante continua la conversation.

- Tu es bien impatiente, petit nuage... Et toi ciel écarlate, que compte tu faire contre nos deux familles.
- Bien dis Dante ! Même si nous sommes des sous familles, on possède la même puissance que les familles principal ! , l'homme laissa apparaître une bague avec une pierre rouge. C'était prévisible il ne possédait pas la carrure d'un boss.

Ruri regarda l'homme puis l'argentée "Petit nuage"... Son visage redevint sans expression. Elle ignora complètement, le gugus sur le toit. L'homme savait beaucoup de choses, la rouge n'aimait pas ça. Elle pensa déjà à la punition de son indicateur pour cette mission à la base "simple"...

Arencia vit qu'elle avait entièrement captivée l'attention de la rouge. Elle avait même réussie à distinguer derrière la capuche un micro sourire, un sourire semblable au sien et pourtant si opposé.
L'argentée regarder Dante continuer sa conversation avec un air particulièrement supérieur, ne comprenant visiblement pas à qui il avait affaire. La rouge était aussi quelqu'un d'important dans le monde sombre, ça Arencia en était convaincue.

- Tu es bien impatiente, petit nuage... Et toi ciel écarlate, que compte tu faire contre nos deux familles.

Arencia leva un sourcil, oui elle était impatiente, mais de leurs faire mordre violemment la poussière.

- Bien dis Dante ! Même si nous sommes des sous familles, on possède la même puissance que les familles principal !
L'homme laissa apparaître une bague avec une pierre rouge.

Ben voyons pensa l'argentée, comment des sous-famille, peuvent-elles possédées la puissance des familles importantes ? Même avec la technologie des bagues, c’était tout bonnement impossible.
Néanmoins Arencia conclue que si cette famille en savait plus qu'il n'en faudrait elle devait potentiellement dangereuse.
Elle se tourna à demi vers la rouge qui ne lui avait toujours pas donnée de réponse. Elle souffla.
L'argentée irait leur faire la peau avec ou sans l'autre.Elle farfouilla dans son sac et en sortit un arme à plusieurs qu'elle déplia sous les yeux hébétés des hommes de la sous-famille, apparemment ils ne s’attendaient pas à voir une arme comme la Fuma-Shuriken.

S'adressant à la rouge elle lui dit deux mots.

- Avec ou sans toi je me battrait ciel écarlate, même si j’aurai aimée combattre à tes cotés pour ensuite me battre en singulier contre toi !

Elle n'attendit pas la réponse de l’écarlate pour sautée sur le toit d'en face et s’opposait à l'homme de la Tempête.

L'argentée souffla. La rouge l'observait du coin de sa capuche. Le nuage fouillait dans son sac à la recherche d'objets bien précis, elle sortit une arme très spéciale... Un Fuma-Shuriken. La rouge fut surprise de nouveau, ce genre d'arme et rarement utilisé par des mafieux. Soudain, l'argentée se tourna vers la Scarletto.

- Avec ou sans toi je me battrais ciel écarlate, même si j’aurais aimé combattre à tes côtés pour ensuite me battre en singulier contre toi !

Le nuage n'attendit pas la réponse de la rouge et sauta sur le toit rejoindre l'homme de la tempête. En haut du grabuge se faisait entendre et l'argentée aller sans rendre compte. Un hurlement d'animal résonna dans la ruelle, tous les sous-hommes tombèrent dans les pommes. Seuls ceux possédant un esprit assez robuste, restèrent debout mais sonnaient.

- C'EST QUOI CE MONSTRE !! ,Roberto était bloqué entre l'argenter aux yeux clairs, et la bête cachait dans l'ombre du bâtiment d'où on voyait des yeux écarlates.

La rouge était resté avec Dante, celui-ci sortit une bague de couleur verte. L'homme était du type Foudre. Ruri enleva sa capuche laissant ses cheveux écarlates au vent et regardant l'homme avec ses yeux améthyste. Puis elle regarda l'argentée en haut.

- ... Tu es bien trop impatiente, fais comme tu veux. Je te laisse l'homme qui a volait la bague de type tempête. Par contre personne restera en vie.

Les deux hommes regardaient la Scarletto avec des grands yeux, elle avait tapé dans le mille. Elle ne laissa pas le temps aux hommes, ni à la jeune femme de répondre qu'elle expliqua la situation à l'argentée indirectement.

- Roberto et Dante. Membres des sous-famille Brutalizzati et Rischio. Vous avez attaqués deux membres de famille principales pour leur voler leurs bagues. Vous avez eu de la chance d'être compatibles... Mais votre comportements est inadmissibles même pour un milieu de mafieux.

- Comment elle...

Roberto était figé. La déduction de la rouge n'était basée que sur des suppositions mais leur comportement confirma l'instinct de Ruri. Décidément c'est imbécile étaient les seuls à posséder des bagues, tandis que dans les familles principales chaque membre en possédait une. Dante n'en revenait pas. Il perdit son sang-froid et sortit un cube de sa poche, une flamme verte électrique apparue sur sa bague qu'il enfonça dans la boîte de même couleur. Une gazelle en sortie, armée de deux cornes sur laquelle de l'électricité passe. Dante montra l'écarlate du doigt et donna ordre à sa gazelle de l'attaquer. La Scarletto regardait l'animal arriver du coin de l’œi, elle se tourna et d'un visage calme, murmura deux syllabes.

- Yoru...

La bête qui était avec l'argentée et Roberto regardait la scène d'en bas. Lorsque sa maîtresse l'appela, une ombre descendit à la vitesse du son. C'était une panthère noire sortit de l'ombre sautant du haut de l'immeuble et qui fit son atterrissage sur la gazelle. De la fumée s'échappa de l'interaction. Lorsque la fumée se dissipa la panthère noire -s'arrêtant à la taille de la rouge- se tenait à ses côtés. Elle tenait la gazelle entre ses griffes, ne laissant aucune possibilité d'évasion à sa proie....

L'argentée allait entamer le combat avec l'homme, mais du bruit dans la ruelle se fit entendre ainsi qu'un hurlement sonore d'animal qui vibra fortement les oreilles d'Arencia.
La plus part des hommes tombèrent comme des mouches, seuls les plus endurants résistèrent.
Arencia en conclue que c’était la boite Arme de la rouge, quelque chose d'aussi puissance ne pouvait être que cela.

Arencia lorgna sur Robert qui crier présentement.

- C'EST QUOI CE MONSTRE !!

Il était bloqué entre l'argentée et la bête cachait dans l'ombre du bâtiment d'où on voyait des yeux écarlates.

Ça confirma encore plus son ressentit. La bête appartenait bien à la rouge.Ensuite Arencia regarda l'autre restée avec le Dante, qui sortit d'ailleurs une bague de la Foudre, la rouge enleva sa capuche laissant voir ses beaux cheveux écarlate et ses yeux améthystes et s'adressa ensuite à l'argentée sur un ton qui ne plu pas du tout à celle-ci.

- ... Tu es bien trop impatiente, fais comme tu veux. Je te laisse l'homme qui a volait la bague de type tempête. Par contre personne restera en vie.

Arencia impatiente ? C’était vraiment un comble. La patience était une des choses les plus importantes que lui enseigné son style de combat. Dire cela était vraiment trop prétentieux venant de la rouge.
Les deux hommes regardèrent juste la fille avec des grands yeux, elle avait apparemment tapé dans le mille. Elle ne laissa pas le temps aux hommes, ni à Arencia de répondre qu'elle expliqua la situation indirectement.

- Roberto et Dante. Membres des sous-famille Brutalizzati et Rischio. Vous avez attaqués deux membres de famille principales pour leur voler leurs bagues. Vous avez eu de la chance d'être compatibles... Mais votre comportements est inadmissibles même pour un milieu de mafieux.

Arencia posa sa main droite, celle ne tenant pas son arme sur sa hanche et regarda la rouge. Vraiment elle la trouvait un peu trop sure d'elle, d'un air beaucoup trop pédant pour l'argentée.

- Comment elle...

Arencia se pinça le nez, c’était pourtant simple, elle avait, d’après le Nuage, procédé par déduction.
L'argentée regarda Dante perdre son sang-froid et sortir un cube de sa poche, une flamme verte électrique apparue sur sa bague qu'il enfonça dans la boîte de même couleur. Une gazelle en sortie, armée de deux cornes sur laquelle de l'électricité passe. Dante montra l'écarlate du doigt et donna ordre à sa gazelle d'attaquer la rouge.
Arencia leva les sourcils. La fille était bien trop silencieuse et calme. Le Nuage vit la rouge murmurer de syllabes du bout des lèvres, qu'elle identifia comme "Yo & Ru". Peu de temps après elle entendit du bruit non loin d'elle, une ombre noire fusa dans l'air à une vitesse extrême faisant voletait les cheveux argentés.

Arencia vit une panthère sauter de l'immeuble, ainsi donc la rouge possédait une telle bête. La panthère se jeta sur la gazelle. De la fumée s'échappa de l'interaction. Lorsque la fumée se dissipa la panthère noire -s'arrêtant à la taille de la rouge- se tenait à ses côtés. Elle tenait la gazelle entre ses griffes, ne laissant aucune possibilité d'évasion à sa proie.

Le Nuage était jusqu'à présent restait silencieux décida, que c’était le moment clef pour répondre à la rouge.
Ce tenant toujours la hanche elle lui lança depuis le haut du toit sous les yeux de tous.

- Impatiente ? J’espère que c'est une blague ? Tu sais de ta stupide mission, je n'en n'ai rien à faire. J'était impatiente certes, mais de tous les éradiqués. Pour ma part, je vaux juste me défouler, mais je pense finalement te laissée à ta mission toi et ton air pédant, je n’apprécie déjà pas de faire équipe, mais en plus avec quelqu'un avec un tel air m’insupporte. Je fait la peau a Mister Tempête et je m'en vais.

Elle se retourna vers l'homme et entama dans un rapide ballet des coups violents et sanguinaires, passant ses nerfs soumis à rude épreuve sur lui.
L'homme réussit quand même à lui renvoyer des attaques, la blessant, pas gravement, au poignet.
Après de longues minutes de lutte l'homme s'effondra et la bague se brisa éparpillant des morceaux écarlates partout. Arencia regarda le bout de ses cheveux teintés de sang, elle souffla, elle allait avoir du mal à le faire partir.
Sans un regard pour les autre, ni même pour la rouge elle rangea son arme dans son sac emporter avec elle sur le toit et partie, comme dit précédemment, sautant de toits en toits...

Lors d'un passage silencieux l'argentée en profita pour répondre à la phrase de la rouge, qui d'ailleurs ne lui avait pas plus.

- Impatiente ? J’espère que c'est une blague ? Tu sais de ta stupide mission, je n'en n'ai rien à faire. J'était impatiente certes, mais de tous les éradiqués. Pour ma part, je vaux juste me défouler, mais je pense finalement te laissée à ta mission toi et ton air pédant, je n’apprécie déjà pas de faire équipe, mais en plus avec quelqu'un avec un tel air m’insupporte. Je fait la peau a Mister Tempête et je m'en vais.

Sur ses mots elle entama un ballets de coups violents avec son adversaire. La rouge n'en revenais pas, la réaction du nuage l'avait scotché. Elle resta surprise, décidément l'argentée fait partie des rare personnes qui est fais sourire la rouge. Ruri ce concentra sur son combat un petit sourire en coin. Ce qui énerva Dante qui rappela son animal. La rouge fit de même.

- Décidément vous deux, vous commencez sérieusement à m'énerver !

Il se rua sur la rouge. Ruri ne s'attendait pas à ce coup et ce le pris en pleine face, il lui écorcha le bras et la cuisse avec deux de ses couteaux. Il recula et rigola. En haut après plusieurs minutes, l'argentée avait réussit à briser la bague de Roberto. Dans ce combat elle réussi à teintés le bout de ses cheveux de sang. Elle ne resta pas, comme dis plus tôt, le nuage rangea son arme, récupéra son sac et partie. Elle ne jeta aucun regard pour les autres , ni même pour la Scarletto. La rouge la regardait du coin de l'oeil. Le sourire quitta son visage. Elle se leva

- Elle a terminé et s'en va...

L'homme sentit la pression mais ayant trop de fierté, hurla à l'argentée:

- Et bien on s'enfuit, tu te la joue mais tu n'es qu'une moins que rien espèce de...

Décidément l'homme perturba le calme de la rouge, Ruri changea radicalement de comportement. Le comportement se fit ressentir et une goutte de sueur coula sur la tempe de l'homme. Dante sentit le danger, il n'attendit pas le prochain mouvement de la rouge pour agir, car le prochain allait être le dernier. Mais la rouge regarda l'argentée pour voir sa réaction à cette provocation de bas âge.

- Ma 'stupide' mission, mon objectif ... c'était lui.elle continua en chuchotant et en soufflant,décidément je n'arrive pas à faire tu travaille d'équipe sans être désagréable...

Arencia commençait à être loin du café, mais une phrase la fit se stoppée net.
C’était Dante qui lui hurlait une remarque digne des cours de recréations, et Dieu sait depuis combien de temps le Nuage à arrêter d’être une enfant.

- Et bien on s'enfuit, tu te la joue mais tu n'es qu'une moins que rien espèce de...

Arencia souffla et se retourna lentement. Elle nota que la rouge avait changer d’attitude du tout au tout, et regardée visiblement comment elle allait réagir à la provocation de Dante.

- Ne va pas croire que je m'en vais parce que j'ai peur, ou si tu peux le croire je n'en ai que faire, de toute les façons je doute que tu reste en vie bien longtemps encore. Me concernant, comme je l'ai dit ultérieurement je vais partir et vous laissez entre personnes puériles. J’espère juste que, Madame est à la hauteur de sa présomption, du moins assez pour en finir avec un sous-être comme toi Dante.

A la fin de son monologue, elle vit la rouge murmurée quelques mots, mais elle était trop loin pour entendre. Le Nuage remarqua aussi le regard plein de haine que lui lança l'homme. Ce dernier se mit d'ailleurs à lui crier de doux mots.

- VA MOURIR !

Il voulut continuer, mais Arencia ne lui laissa pas ce privilège.

- Moi morte ? Je le suis déjà depuis bien des années maintenant, et il me semble que, les morts ne peuvent mourir une seconde fois. Maintenant je m'en vais que tu es finit de déblatérait des calembredaines ou non.

Et elle se retourna est partie le visage fermé, Dante ayant provoqué une rafale de souvenirs liés à la mort...

Dante était à bout de nerfs, Ruri observait le nuage solitaire qui se retourna après la provocation de l'homme. Son visage se ferma, l'une des phrases du mafieux avait dérangé la jeune femme aux cheveux argentée. La rouge réfléchit un petit moment, elle voulait terminer ça rapidement... après quelques minutes, un sourire apparut de nouveau sur son visage. Elle murmura ses mots:

- Décidément elle est intéressante.

Le mafieux regardait aussi la jeune femme partir, sa silhouette commencer à se dissiper entre les différentes toitures. Ruri se rua sur l'homme décidé à finir cette affaire. Passant derrière lui, elle dégaina son pistolet et lui tira en pleine tête. Le pistolet possédait la même puissance que ceux du Boss de la varia ou encore du X-burner du Vongola Decimo, sauf que dans ce cas-là le pistolet était à 20% de sa puissance. Le souffle supprima la tête du corps de l'homme. Le reste tomba au sol.

- ...

Ruri remit sa capuche et partit sur les traces de la jeune femme à la chevelure argentée. Sur le chemin elle croisa une épicerie, elle s'y arrêta pour prendre quelque chose.

Après quelques minutes de course, Arencia s'estima assez loin de tout. Néanmoins, son visage était toujours aussi grave, certes elle n’était pas d'une nature à ressassé éternellement le passé, mais quand des souvenirs lui revenaient violemment en tête après une forte colère, elle avait envie de vidé toutes les larmes de son petit corps. S’essuyant le coin des yeux elle déambula dans les ruelles vides et sombres de Rome, le soleil était à son zénith et arrivant dans une petite place en retrait, vide de personnes et sans visa-vis, Arencia décida de savoir prêt de la fontaine.
Plongeant ses mains blanches dans l'eau, elle s’aspergea le visage, pour se réveiller et se remotiver. Elle en profita aussi pour trempé ses pointes teintant l'eau claire d'une couleur écarlate, qui lui rappela les cheveux de la fille. Arencia secoua vivement sa tête, elle voulait l'oubliée, elle et son côté "Je sais tout, je n'ai pas besoin de vous, inclinez vous de ma grandeur d'esprit".

- Tch ! Pesta l'argentée.

S’asseyant en tailleur sur le bord de la fontaine, elle ferma les yeux et commença à fredonner une chanson prenant une voix douce, changeant de sa voix froide habituelle, personne ne pourrait l'entendre ici, alors elle se relaxa complètement. La chanson lui avait souvent était chantée dans son passé.

- Sakura saku maiochiru
Nani mo nai boku no te no ue... *

Elle était bien, totalement transportée dans sa chanson elle continua de chantée...

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*Chanson originale : "Sakura Addiction"

Ruri souffla, son passage à l'épicerie avait pris plus de temps que prévu mais l'enseigne était la seule à faire le produit qu'elle préfèrait, elle continua ses recherches. Les minutes passèrent et toujours rien de plus avec sa tenue les passants devenaient de plus en plus agaçants... La rouge décida de passer par les chemins ou la circulation était plus pauvre. Une légère brise ce leva, Ruri en profita pour enlever sa capuche pour profiter au maximum de ce petit vent. En continuant à marcher, la Scarletto tomba sur une fontaine fort sympathique. Elle alla s'y installer et croisa les jambes. Elle déposa à ses côtés son sac et se remémora les évènements d'aujourd'hui... La mission, les sous-mafieux, la tournure de la situation et enfin l'expression fermée de la jeune femme aux cheveux argent... Ruri en profita pour sortir et ouvrir l'enveloppe qui était l'origine de son déplacement dans la ville. Un "Tch'" se fit entendre derrière. Ruri se tourna mais la taille monumentale de la statue centrale cacher la vue de la Scarletto... Soudain une voix nostalgique commença à chanter les paroles d'une chanson

- Sakura saku maiochiru
Nani mo nai boku no te no ue...

Cette musique raviva de vieux souvenirs... La Scarletto se pencha sur le côté pour voir à qui appartener la voix. Elle fut surprise d'apprendre qu'il s'agissait de la jeune femme, celle qu'elle cherche depuis quelques heures. Voyant son expression Ruri ne pris pas la peine de sortir, elle continua d'écouter la musique et farfouilla dans son sac. Elle en sortit une sucette ainsi qu'un petit sac de grains de café. Elle y écrivit un mot et attacha le tous avec une ficelle. Un groupe d'enfants passer par là. La rouge interpella une petite fille et lui chuchota quelques mots. Ruri ce leva et la petite fille partie de l'autre côté de la fontaine tenant dans ses mains les produits. La jeune fille se planta devant le nuage et bredouilla quelques mots.

-Hum... Signorita ?(Hum... Mademoiselle ?

Arencia continuée à chanter sa chanson, plus envoûtée que jamais, ses souvenirs les plus profonds montant violemment en surface alors qu'elle entamée l'avant dernier couplet.

- Haru ga kuru sakihokoru
Gurando ga kaze ni yureru...

Une brise légère de printemps en ordonnance avec les paroles se leva. Arencia profita de la courte pose de la chanson pour reprendre son souffle et profiter de la brise ses cheveux voletant autour de son corps. Continuant sa chanson, elle n'attendit pas une petite personne venir se prostré devant elle.
La petite fille était gênée de dérangée une grande personne en pleine chanson surtout que sa voix était nostalgique. Elle prit son courage à deux mains, serrant le paquet que la dame aux cheveux rouge lui avait demandée de donné à la dame aux cheveux blancs.

- Hum... Signorita ?(Hum... Mademoiselle ?)

Arencia frissonna un court instant, pour ne pas dire sursauta, bien que l'adjectif était parfait pour cette situation. Elle ouvrit les yeux, un peu peiné d'avoir était coupé dans sa chanson. Lorsque ses yeux sans pupilles blancs s'accomodèrent à la lumière, elle distingua clairement une petite Italienne, pas plus haute que trois pommes, les yeux bleu azur la regardant en coin, les cheveux d'un noir profond, et les pommettes roses, elle oublia sa tristesse, attendrie devant la petite, si elle l'avait dérangée, il devait bien y avoir une raison.
Elle lui répondit donc en Italien.

- Cosa posso fare per te mia cara ? (Qu'est-ce que je peux faire pour toi ma petite ?)

La dite petite, encore plus rouge lui tendit le paquet tout en lui disant.

- Per voi ! (Pour vous !)

Et mis le paquet entre le mains d'Arencia et partit en courant rejoindre ses amies. Le Nuage resta coi quelques instants avant de se reprendre vivement. Elle posa rapidement le paquet sur le rebord de la fontaine, méfiante. Avant de le toucher ou autre, elle se leva, fit glisser de sa manche une Shuriken et écouta les alentours. Mieux valait prévenir que mourir et qui sais si ce n’était pas un paquet pigé. Elle entendit du bruit de derrière la grosse statue de la fontaine. Elle lança sa Shuriken sur le sol, pour ne pas blesser si c’était un civil, après tout de là où elle se trouvait, elle ne voyait rien. Arencia attendit une réponse avant de touché le paquet. Mais en regardant fixement, elle était parvenue à distinguer une forme se rapprochant de celle d'une sucette ainsi qu'une sorte de papier, mais elle n'en était point certaine. Elle préféra attendre, sur ses gardes. Prônant la sûreté.

Ruri ce leva après le départ de la petite italienne de l'autre côté de la fontaine. Elle récupéra le reste de ses courses et les rangea sous sa veste, la discussion s'engagea derrière la statue. Au timbre de sa voix Ruri sentie que la petite fille était gênée. La jeune femme à la chevelure d'argent répondit d'une voix attendrie.

- Cosa posso fare per te mia cara ? (Qu'est-ce que je peux faire pour toi ma petite ?)

L'enfant resta éblouie par la transparence des yeux de la jeune femme. Reprenant confiance, elle déposa le paquet dans les mains de la grande personne.

- Per voi ! (Pour vous !)

La Scarletto remis sa capuche, la petite fille était retourné avec ses amis, Ruri pris ce départ comme un signe et décida de se retirer mais elle ne put faire un pas qu'un shuriken se planta au sol à côté d'elle. Elle resta immobile un instant et repensa au mot joint avec le présent.

- Voici une sucette à la pomme et un
paquet d'un des meilleurs grains à café, je sais pas si tu es plus sucre
ou amer mais pour ce qui et de la sucette il ne restait plus que ce gout.
Cette rencontre fut intéressante. En espérant que ta nostalgie passe.
❃

Elle signa d'une fleur de Lys. Décidément la rouge n'aimait pas remercier car oui après tout l'argentée l'avait aidée indirectement. De plus la rouge avait été désagréable...

La rouge hésita à rester. Après réfléxion elle n'avait plus le temps il fallait qu'elle retourne au Japon consulter sa famille et mettre au clair certaines choses. Mais avant elle avait quelque chose de plus urgent à faire. C'est sur ses idées nostalgiques ravivait par la musique de l'argentée que Ruri quitta d'un pas décidé le lieu. Le soleil commença à ce coucher, laissant apparaître de magnifique couleur orange, rouge mauve dans le ciel. A Rome, pour un bon café corsé, la Scarletto avait rencontré sous ce ciel maintenant orangé, un nuage solitaire qui passé par là~

Arencia entendit les pas s'éloignés, apparemment la personne derrière avait prévue de partir.
Elle ne se détendit pas pour autant en prenant le paquet entre ses mains. Ce genre de choses avait coûter la vie à plusieurs membres de sa famille. Elle ouvrit doucement le paquet, une feuille vola au sol. Le nuage en sortit un sac de grains de café et une sucette goût pomme à première vue. Elle ramassa la feuille, au moins elle était soulagée, ce n’était pas un paquet pigé et personne ne voulait attentait à sa vie. Lisant les quelques lignes elle rigola légèrement.

- Voici une sucette à la pomme et un
paquet d'un des meilleurs grains à café, je sais pas si tu es plus sucre
ou amer mais pour ce qui est de la sucette il ne restait plus que ce goût.
Cette rencontre fut intéressante. En espérant que ta nostalgie passe.
❃

Alors comme ça, le paquet venait de la rouge désagréable rencontrée plus tôt. Arencia ouvrit la sucette pensive. Personne ne l'avait jamais entendue chantée. Pas même ses frères ou ses parents. Elle plongea la sucette au travers de ses lèvres carmines. La rouge connaissait maintenant quelque chose de totalement intime à l'argentée. Elle surcota la sucette au fur et à mesure qu'elle réfléchissait. Arencia ne savait si elle devait chercher à supprimer la rouge, quelque part, elle représenté une menace pour sa famille au vue de sa puissance ou si elle devait la laissait courir et faire des rechercher sur ce ciel écarlate. Elle croqua dans la sucette. Et puis, elle avait un indice et pas des moindre, la signature était plutôt atypique, et Arencia jurerais avoir déjà une fleur de Lys sur un emblème d'une des familles les plus prospères de cette époque. Finalement avalant les derniers bouts de sa drogue sucré elle s’étira le dos, entre temps elle s’était rassise mais dans une position assez inconfortable. Elle leva le nez vers le ciel, le soleil commencé à être très bas, et il vaudrais mieux pour elle rentrer à l’hôtel, préparé son départ de Rome pour rentré chez elle. Elle mis le sac de café ainsi que la lettre dans son sac et, d'un pas décidé, elle quitta la place, un sourire indescriptible ornant ses lèvres, et une idée farfelue derrière la tête basait sur un de ses principes les plus profonds...

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Aventure à suivre ~

Sujet: Re: Rencontre corsée ~ [Arencia/Himeru]