Première rencontre explosive ~ [Arencia/Aniceta]

Ce soir-là c'était une grosse soirée au bar/restaurant où le nuage travailler et vivait le tout dans une petite ville du sud-est de la Basilicate.
Arencia avait commencé son service plus tôt en échange d'une petite augmentation finement négociée.

Profitant d'un trou entre deux commandes, elle regarda la foule de clients se presser vers le bar dans le but de passer une soirée des plus alcoolisée, Arencia souffla. Définitivement elle n'aimait pas le monde.

Après deux bonnes heures de service au restaurant elle prit une pause rapide, troquant son costard contre une tenue de barmaid.
Elle remarqua ainsi des types plutôt louches, des gens dont on n'aurait pas soupçonné la fréquentation de ce genre de Pubs.
Arencia en conclue assez facilement, qu'ils devaient être du monde de la pègre.
Décidant de mener sa petite enquête histoire de voir s'ils ne nuiraient pas à sa famille, tout en restant à l’écart... Elle les observa un petit moment entre deux services, c'est comme cela qu'elle remarqua l'enveloppe plutôt volumineuse que tenait un des hommes. Tout cela semblait louche aux yeux de l'argentée.
Décidant de fouiner encore plus, ayant vu une cliente non servie, plutôt jeune, sûrement de son âge, avec des yeux verts très expressifs, à une table non loin, elle sauta sur l'occasion et alla l'accostée.

- Bonjour, que puis-je vous servir ?

-Pfff... Pourquoi c'est toujours moi qui doit "voyager" pour lui, pourquoi? Qu'il aille les chercher lui même ses dossier d'info'. marmonnait Aniceta en entrant dans un bar/restaurant d'un bled un peu paumé, mais tranquille.

Même si sur le coup, Aniceta semblait détester son oncle au plus haut point, elle se faisait au fond d'elle même une joie de l'aider (et surtout de ne pas voir sa mère pendant quatre jours, mais ça, c'est une autre histoire.)
A l'intérieur, il n'y avait quasiment que des gens louches. Elle en connaissait quelque uns de vue d'ailleurs. Merci qui qui? Son oncle qui devait parfois informer des "haut noms du milieu" sur le compte de ces imbéciles...
Soit, pour le moment, elle devait trouver une table tranquille, et attendre un "homme en costard bleu, un nouveau Parrain assez bien et digne de confiance" qui devait lui apporter une somme d'argent assez conséquente.
Les yeux d'Aniceta furetait un peu partout, cherchant du regard "l'homme en costard bleu". Impatiente, elle ne se rendait même pas compte qu'elle torturait le bord de la manche de sa veste en jean. Soudain, elle remarqua une fille, d'à peu près son âge sans doute, aux cheveux d'un blanc de neige et le teint pale.

-Des lèvres rouge comme le sang, et le teint blanc comme la neige. On l'appela Blanche-Neige. chuchota-t-elle en riant un peu.

Justement, "Blanche Neige" arriva près d'elle, et lui dit cette phrase type:

- Bonjour, que puis-je vous servir ?

Tient! Elle n'y avait même pas pensé à ça tient... "Mais t'es dans pub, vieille sotte! Maintenant, tu vas passer pour une conne..." pensa-t-elle.

-Euh... juste de l'eau, s'il vous plait! Merci!

-Euh... juste de l'eau, s'il vous plaît! Merci!

Arencia leva un sourcil, amusée. Apparemment la jeune fille était surprise de sa question.

- Très bien.

Arencia repartait le plus lentement vers le bar, lorgnant discrètement sur les papiers poser nonchalamment sur la table hommes en costard. Certains papiers portés un sceau rouge, type mafia, ça lui faisait une belle jambe, la mafia, en espérant qu'elle ne ferait pas trop de grabuge, elle avait déjà assez de soucis avec le gérant comme ça.
Elle vit aussi un monsieur en costard bleu rentré dans le bar et lui faire signe.
Prenant le verre d'eau de la jeune femme ainsi qu'un plateau elle se dirigea vers les mafieux.
Elle posa rapidement le verre d'eau plate devant la brune accompagner d'un "voici" presque muet
et prit la commande des hommes.

- Ce sera quoi pour vous ?

Demanda nonchalamment Arencia.

- Deux whiskys, une vodka et trois manzanas.

Lui répondit l'homme louche en bleu, assurément le "boss", en regarda les formes du Nuage, ce qui l’énerva assez, mais elle n'en montra rien.

Repartant une nouvelle fois, elle remarqua les mouvements de la femme aux yeux expressifs, qui semblent s'être intensifiés en impatience envers quelque chose qui échappé à l'argentée.
Elle la regarda du coin du bar bien décidée à trouver le fin mot de cette impatience, en oubliant par la même occasion la commande des mafieux...

Le voilà! Il venait d'entrer, ce mafieux au costard bleu. Il s'assis en compagnie de ses hommes quelque table plus loin, en faisant un signe à la jeune serveuse. "Blanche Neige" déposa d'abord un verre d'eau sur la table d'Aniceta en murmurant quelque formule de politesse typée inaudible et se dirigea vers ces hommes. Le boss la reluquait avec insistance en prenant sa commande. "Encore un homme à femme prêt à tout pour en mettre une dans son lit!" se dit-elle. Il faudrait qu'elle demande à son oncle la signification qu'il donnait à "Parrain assez bien et digne de confiance"... enfin, tant qu'il gagnait de l'argent, son oncle se fichait un peu de savoir pour qui il travaillait, ce qui n'était pas le cas de sa mère.

Aniceta devait de plus en plus nerveuse, pianotant avec un rythme régulier sur la table de bois. Elle furetait la salle du regard, attendant que personne ne la regarde pour signaler sa présence. Soudain, son regard en croisa en autre: celui de la serveuse. Plusieurs secondes s'écoulèrent, tandis qu'elles se fixaient, attendant que l'une retourne à ses activités. "Et puis zut!" pensa la Sicilienne "Qu'est qu'une serveuse viendrait se mêler de ma manière de me faire reconnaitre?". Oui, mais cette "serveuse" semblait en savoir long... enfin, c'était peut être une impression.

Aniceta sortit d'on ne sait où un bâton de Dynamite, écrivit dessus avec un feutre qui se trouvait dans sa poche "La Nièce de Gino" et lança le projectile en plein milieu de la table des mafieux. L'homme en costard bleu souris et vint s'assoir en face d'elle, le bâton de Dynamite dans ses main.

-Alors, c'est à toi que je dois remettre l'argent?
-Oui, donnez-le moi.
-Bien sûr, bien sûr chérie...

Il fit signe à l'un de ses hommes, qui vint avec une enveloppe. Deux minutes plus tard, Aniceta comptait les billets.

-Pff, bande de ti' joueurs... vous croyez pas qu'il faudrait mieux me donner des vrais billets?[/b]

Arencia fasciné par le taux de nervosité qui augmentait à chaque instant chez la cliente aux yeux verts. Ladite cliente regarda dans la pièce, apparemment pour voir si personne ne l'observer, le regard d'Arencia croisa le vert pomme. Le temps s'allongea, visiblement l'une et l'autre attendant que l'autre retourne à ses préoccupations.
Finalement c'est la cliente qui rompu l’échange muet -en sortant d'où Arencia ne préférer pas savoir,- un bâton de Dynamite sur lequel elle écrivit avec un marqueur et le lança sur la table des mafieux.

- Ah... Ben tout s'explique...

Murmura pour elle-même l'argentée.

Arencia n’était pas vraiment surprise en vérité, se doutant qu'une jeune fille comme elle -commandant un verre d'eau- était pas là pour passer du bon temps...
Le Boss en bleu vint d'ailleurs se placer juste en face de la brune, un sourire à la limite du pervers accrocher aux lèvres.
Le nuage décida de s'approcher sans bruit d'eux, assez pour ne pas se faire voir et suffisamment pour entendre le sujet de conversation.

-Alors, c'est à toi que je dois remettre l'argent?
-Oui, donnez-le-moi.
-Bien sûr, bien sûr chérie...

Arencia n'aurait pas soupçonné qu'une si jeune fille soit une passeuse entre son Boss et les autres Boss.
L'homme en bleu, fit signe à un de ses hommes qui apporta l'enveloppe repérait plutôt par l'argentée.
Les yeux verts se mirent à comptaient les billets...

-Pff, bande de ti' joueurs... vous croyez pas qu'il vaudrait mieux me donner des vrais billets?

Pas mal, pensa Arencia, amusée qu'elle est remarquée assez facilement que c’était de faux billets.
Se rappelant qu'elle avait encore une commande à remettre, elle prit rapidement les verres sur son plateau et se dirigea en direction de la table des mafieux.

- Voici votre commande messieurs.

Dit Arencia d'une voix monotone au possible. Le Boss se retourna, une expression grave sur le visage, assurément énerver que la brune est découvert la supercherie.

- Un problème entre clients ?

Demanda Arencia en essayant d’être offusquée, sans y arriver...

- Voici votre commande messieurs.dit la "Blanche-Neige", la voix blasée au possible

Le Boss en bleu la regarda, l'air grave. Il n'avait apparemment pas apprécié que la Gardienne de la Tempête aie remarqué les faux billet.

- Un problème entre clients ?

"Pas très bonne actrice" songea Aniceta.
Elle regarda quelque seconde la serveuse blanche. "Tient donc!" se dit-elle "Je ne savais pas que Blanche-Neige avait les yeux blanc...". Cependant, elle n'était pas choquée de ce détail; certaine lapins ont bien les yeux rouge!

- Oh! Ne vous en faite guère mademoiselle, juste que ce client pourrait ne pas payer l'addition comme il se doit. dit-elle en posant un vrai billet de cinq euros sur la table pour payer son verre d'eau. Et gardez le pourboire surtout! ajouta-t-elle en se levant avec un grand sourire.

Elle passa à côté du mafieux au costard bleu, lui glissant rapidement à l'oreille quelque menace d'explosion imminente s'il ne lui apportait pas l'argent demain.

A peine eut-elle fait deux pas de plus qu'un mafieux empoigna l'arrière du col de sa veste et fit sentir la pointe de son couteau sur sa colone vertébrale. Aniceta soupira, avant de discrètement mettre sa main droite dans sa poche, là où sa boite arme et un bâton de dynamite se trouvait...

Arencia vit que la cliente regarda quelques secondes ses yeux cotons, elle ne s'en soucia gère, après tout, elle avait l'habitude.

- Oh! Ne vous en faite guère mademoiselle, juste que ce client pourrait ne pas payer l'addition comme il se doit.
Dit la brune en posant un billet -vrai d’après le premier coup d’œil de l'argentée- de cinq euros sur la table.
Et gardez le pourboire surtout! Et elle se leva.

Arencia rigola sous cape, la brune se moquait ouvertement de l'homme en costard.
Elle passa d'ailleurs à ses cotés et lui dit quelque chose d'inaudible pour l'argenté, elle se douta bien que cela avait un rapport avec le faux argent.

A peine la fille aux yeux verts pommes avait fait un pas que le mafieux en bleu avait attrapé son col de veste et pointé un couteau sur la colonne vertébrale de la brune.
Des le premier mouvement de l'homme Arencia avait posée son plateau sur la table, avait sortit un Kunaï double de sa manche et le pointé présentement sous la gorge de l'homme, sous le regard méduse de ses hommes et des clients.
Elle lui susurra doucement à l'oreille,

- Désoler, mais je ne veut pas de grabuge dans ce bar pendant mon service, j'ai assez de problèmes avec le gérant comme ça, et puis se serait bête que mon arme dérape accidentellement...

Pour appuyer ses dires elle pressa une des lames sous la gorge du mafieux assez pour le faire saigner légèrement et pour ne pas le tuer non plus.

" Désoler, mais je ne veut pas de grabuge dans ce bar pendant mon service, j'ai avait de problèmes avec le gérant comme ça, et puis se serait bête que mon arme dérape accidentellement..."

Tel furent les mots qu'Aniceta entendis avant que le mafieux-qui s'est avéré être le "Boss en costard bleu"- ne lâche le col de sa veste en Jean.

- Eh bien!chuchota-t-elle,J'ai eu peur qu'il me l'abime!

Elle se retourna et vis... non, ceci n'était pas possible. "Blanche-Neige" menaçait de décapiter au Kunaï le Mafieux? Décidément, l'enfance d'Aniceta, bercée par ce conte de fée, s'effondrait petit à petit. Lorsqu'elle vit les "bandits" installés au comptoir se relever pour venir en aide à "l'otage" de la serveuse, Aniceta leva les yeux au ciel, secoua un peu la tête, et ouvrit sa boite dans sa poche. Une brume rougeoyante sortit de la poche de la veste, pour laisser découvrir... un bébé panthère.

-C'est quoi ce délire???s'exclama un homme
-Mais qu'est qu'un chaton fout ici! Tu crois qu'on a peur, mistinguette?dit un autre

Aniceta eu un petit rire, s'alluma une cigarette, alluma la Dynamite qui se trouvait dans sa poche, et la lança sur son animal, sous les yeux enneigé de "Blanche-Neige la serveuse", dont le Kunaï avait fait saigner le cou du Boss...

L'instant d’après le Boss en bleu lâcha la veste de la brune qui chuchota ironiquement.

- Eh bien! J'ai eu peur qu'il me l’abîme!

Elle se retourna ensuite sous le regard amusée d'Arencia. L'argentée tourna ensuite légèrement sa tête dans la même direction que la brune pour voir les autre mafieux vouloir venir en aide à leur Boss otage de la blanche, elle allait envoyer des Shurikens dans leur direction, mais la jeune fille aux yeux pomme ne lui en laissa pas le temps qu'une brume écarlate s’échappa de sa poche et un bébé panthère apparut.

-C'est quoi ce délire? S'exclama un homme

-Mais qu'est qu'un chaton fout ici! Tu crois qu'on a peur, mistinguette ? Dit un autre

Arencia accentua la pression sur le coup du Boss, tout en regardant attentivement les actions de la brune aux flammes de la Tempête. Cette dernière sortie d'ailleurs s'alluma tranquillement une cigarette ainsi qu'une Dynamite qu'elle lança sur son animal. Arencia leva un sourcil, les actions de la fille étaient étranges.
Elle détourna le regard quelque temps le temps d'attraper elle aussi sa boite et sa bague du Nuage qu'elle passa à son doigt. La brume violette envahit la pièce et la petite Martre des Pins vint se prostrée sur le sol aux cotés de la panthère...

Aniceta observa quelques instants le petit animal-dont elle n'arrivait pas à distinguer l'espèce- qui venait de se posser aux côtés de Pineapple, qui grandissait d'une manière étonnante depuis qu'il venait de se faire "exploser". D'ailleurs, il n'y avait pas que ça qui était étonnant...
Cette serveuse...elle avait finalement eut raison de croire qu'elle en savait plus qu'une simple serveuse de pub bien banale. Et puis, comment se faisait-il que Blanche-Neige (Aniceta s'était décidée à l'appeler ainsi) possède une boite arme de type Nuage? Et par la même occasion, une bague du même attribut..

La Gardienne de la Tempete aurait du rencontrer celle du Nuage quelque jours au part avant, mais elle devait venir chercher l'argent pour son oncle, ici, dans ce petit pub paumé dans un bled, donc...
La Boss lui avait beaucoup parlé d'elle: une fille sérieuse, distante, froide, mais surement gentille et agréable au fond. Et puis, elle aimait tout ce qui touchait au paranormal, donc, elle ne pouvait être que génial!

Soudain, une idée lui traversa malheureusement ou heureusement l'esprit...

-Le Trèfle à Quatre Feuilles, toujours chanceux. Ses Gardiens, toujours glorieux! cria-t-elle en lançant des bâtonnet fumant à la tête d'un malfrat, tandis que la Panthère terrifiait par sa présence certains mafieux et beaucoup d'innocents.

Elle allait donner un coup de poing au malfrat qui venait de se relever, quand une voix d'homme à l'accent Napolitain hurla en faisant de grand signe à Blanche-Neige

-Mais qu'est qui se passe là! C'est encore ti qui a foutu le Bordel dans mon Bar!

Arencia regarda avec amusement la boite arme de la brune aux cotés de la sinne. Un bébé panthère grandissant quand on lui lance de la Dynamite c’était tellement peu commun, mais en même temps si familier à Arencia qui compris assez vite qui était cette fille si singulière.
Elle voulue lui dire quelques mots mais la brune ne lui en laissa justement pas la temps.

- Le Trèfle à Quatre Feuilles, toujours chanceux. Ses Gardiens, toujours glorieux !

Cria la fille en lançant des Dynamites à la tête d'un des hommes.

Elle était bien Aniceta, la gardienne de la Tempête des Quadrifoglio, celle qu'elle aurait du rencontrée il y a quelques jours, mais leur rencontre fut repoussée à cause d'Arencia ne savait quoi.
Elle s’était néanmoins renseignée sur les autre gardiennes de la famille, comme leur armes ou leur Boites Armes.

Arencia allait lui répondre sourire narquois aux lèvres mais une personne cassa l'ambiance qui s’était installée.

-Mais qu'est qui se passe là! C'est encore toi qui a foutu le Bordel dans mon Bar !

L'argentée souffla, il ne manquait plus que lui, évidement toute cette histoire lui retombera dessus.
Elle donna un coup de coude dans le cou de l'homme qui s’évanouit sur le coup.

Elle vit le gérant la regardait avec des soucoupes, l'ignorant elle cria à la Tempête des consignes tout en jetant un fumigène ninja au sol.

- Tempête ! Pourrait-tu les fait sortir du bar !? J'aimerais éviter d'avoir des problèmes avec une sous-famille dans ce bar !

Elle se protégea les yeux de la fumée et donna quelques coups aux mafieux proches d'elle, se demandant qu'allait faire l’autre gardienne...

- Tempête ! Pourrait-tu les fait sortir du bar !? J'aimerais éviter d'avoir des problèmes avec une sous-famille dans ce bar ! cria Blanche-Neige

Haha! Aniceta avait donc eut raison: c'était la Gardienne du Nuage. Mais quel était son nom déjà?...bah! Ce n'était pas le plus important pour l'instant.

Elle s'approcha de Pineapple et lui dit: "Soeurette va botter le cul à ces enfoirés. Toi, tu les fait dégager...et pour une fois, fais ce que je te dis, ok???"

C'est ainsi que trois mafieux se retrouvèrent avec leur habits grillé, mit dehors par une panthère agissant sous la contrainte... mais bon, il en restait d'autre... et puis, il y avait le gérant Napolitain qui gueulait toujours...

- Dit moi Blanche-Neige, si je peux t'appeler comme ça- il est pas un peu trop bruyant ton patron? Tu veux que j'aille lui parler? dit elle en distribuant des pains gratuitement à un mafieux de basse classe.

Arencia regardait en coin la Tempête, tout en gardant un œil sur son -gentil- patron qui braillait contre sa stupidité de serveuse, et quelque chose comme la mettre a la rue. N'en aillant que faire, du moins en apparence, elle entendit la gardienne parlait à sa panthère.

"Sœurette va botter le cul à ces enfoirés. Toi, tu les fait dégager...et pour une fois, fais ce que je te dis, ok?"

Arencia eu un sourire en coin, apparemment les deux ne devait pas s'entendre. Néanmoins, les trois mafieux se retrouvèrent mis à la porte, leurs habits fumants. "Un soucis de moins" ce dit l'argentée.
Elle allait s'attaquer au gros du problème, son supérieur. Donnant un autre à son animal qui fonça sur un mafieux, tout en le mordant au sang, Arencia avança légèrement avant d’être arrêter par la voix de la brune en train de frapper un sous-membre.

- Dit moi Blanche-Neige, si je peux t'appeler comme ça- il est pas un peu trop bruyant ton patron? Tu veux que j'aille lui parler?

Blanche-Neige ? Elle arqua un sourcil, c’était bien la première fois qu'on la comparée à cette princesse de conte. Ça la surprenait assez, et lui donnait un aperçu des références cinématographiques de l'autre gardienne.
Elle réfléchit vivement, certes, les méthodes de Aniceta avaient l'air efficaces, mais peut-être trop radicales au goût de l'argentée, et elle se doutait bien que, "lui parler" signifiait "lui casser les dents", ce qui enfoncerait encore plus Arencia. Elle lui répondit ceci.

- Bien que j’apprécie ta proposition, je vais si tu veux bien, m'en charger moi même, toi, je pense que tu devrait quitter le bar, et rester dans les environs qu'on puisse discutées au calme.

Après son monologue, elle rangea son arme après avoir couper la carotide à un mafieux lui bloquant le passage, tout en allant vers son patron.
Arrivée devant lui elle lui expliqua calmement la situation.

- Écouter Monsieur, je faisait mon service, quand, ces mafieux, ont déclencher une bagarre. En bonne protectrice du bar, je me devait d'aider à les faire partir.

Le Napolitain lui hurla des choses incompréhensibles avant de partir laissant béate Arencia. Jamais elle n'avait vu son supérieur aussi furieux. Elle commençait vraiment à doutait de son avenir en tant que locataire et serveuse ici.
Elle se demandait aussi, si la brune avait quittée les lieux...

- Bien que j’apprécie ta proposition, je vais si tu veux bien, m'en charger moi même, toi, je pense que tu devrait quitter le bar, et rester dans les environs qu'on puisse discutées au calme.

Aniceta regarda étrangement Blanche-Neige. Ce n'était pas la première fois qu'on refusé ses service, loin de là, mais vu le tempérament de tueuse née du Nuage, elle aurait cru qu'elle la laisserait parler à son patron...
Justement, Blanche-Neige discuta un peu avec un patron, qui lui cria des parole qui, sans son accent, auraient pu être compréhensible, et s'en alla.
La fille au cheveux blanc resta là, plantée comme une souche , surement béante de ce que venait de lui dire son patron. La brunette lâcha alors l'homme qu'elle frappait avec allégresse, et ordonna avec nonchalance à Pineapple de le faire dégager. Elle se précipita vers sa "collègue", et lui chuchota "Je vais arranger ça, crois moi. Les poings dans les poches!" et elle se dirigea là ou elle croyais avoir vu le Napolitain disparaitre.

-Il n'est pas question que Blanche-Neige perde son boulot de ma faute, mon enfance ne saurait jamais me pardonner ça! cria-t-elle plus à elle même qu'autre chose.

Arencia sentit une présence à ses cotés tandis qu'elle était plongée dans ses pensées. Assurément c’était la Tempête, Arencia commença à bouillonnée intérieurement. Elle se dit, que, si elle tentée quoi que se soit, elle serait son adversaire, tant pis, la brune n'a qu'a comprendre quand elle lui parle.
Elle vit ladite brune, lui chuchotée les doux mots suivants.

"Je vais arranger ça, crois moi. Les poings dans les poches!"

Arencia regarda la brune se dirigeait vers l'endroit ou son patron était parti tout en criant.

- Il n'est pas question que Blanche-Neige perde son boulot de ma faute, mon enfance ne saurais jamais me pardonner ça!

Arencia baissa la tête, furieuse, jamais au grand jamais, elle n'aurait penser la brunette comme ça, elle qui l'avait légèrement apprécier elle et ses méthodes radicales.
Se rappelant de ses paroles précédentes elle marcha rapidement vers la gardienne tout en lui bloquant le passage, les yeux exprimant une profonde colère. Elle plaça ses poings sur ses hanches et commença à parler, calmement, mais froidement.

- Tu ose dire, que si je perdais mon travail par ta faute ton enfance ne s'en remettrait pas ? Moi, je n'en n'ai que faire de ton enfance, ici, nous ne sommes pas dans une situation où l'avenir d'un conte, un futile souvenir enfantin ce joue, présentement nous sommes dans la réalité de la vie, il y a des choses, qui vaut mieux laissés faire aux principaux concernés. Alors, si tu aurais vraiment voulu m'aider, tu aurait considérée mes répliques précédentes et tu serais partie, au lieu de rester et d'aggraver la situation. Maintenant c'est mon problème, et si cela te pose les moindre soucis, alors, je serai ton adversaire. Un problème n'en remplace pas un autre, ils s'accumulent, ça, garde le bien en tête. Alors si tu veux vraiment aidée "Blanche-Neige", pars, et ne recroise plus ma route avant un moment, et laisse moi régler les affaires qui me concernent.

L'argentée reprit son souffle, regardant toujours la brune droit dans les yeux vers de cette dernière, autant énervée qu'avant.

- Tu ose dire, que si je perdais mon travail par ta faute ton enfance ne s'en remettrait pas ? Moi, je n'en n'ai que faire de ton enfance, ici, nous ne sommes pas dans une situation où l'avenir d'un conte, un futile souvenir enfantin ce joue, présentement nous sommes dans la réalité de la vie, il y a des choses, qui vaut mieux laissés faire aux principaux concernés. Alors, si tu aurais vraiment voulu m'aider, tu aurait considérée mes répliques précédentes et tu serais partie, au lieu de rester et d'aggraver la situation. Maintenant c'est mon problème, et si cela te pose les moindre soucis, alors, je serai ton adversaire. Un problème n'en remplace pas un autre, ils s'accumulent, ça, garde le bien en tête. Alors si tu veux vraiment aidée "Blanche-Neige", pars, et ne recroise plus ma route avant un moment, et laisse moi régler les affaires qui me concernent.

La fille qui ressemblait à Blanche-Neige semblait avoir une flamme de haine dans ses yeux. Aniceta l'a regarda, presque vexée. Elle qui essayait de réparer les problèmes qu'elle avait causé, elle qui avait voulu l'aider à ce débarrasser des mafieux... Certes, ce n'était pas son genre d'obéir, mais des conneries, elle en avait fait. Beaucoup. Et elle les repérait, tant bien que mal, mais elle le faisait. Toujours.
Alors qu'elle préparait son poing à rencontrer la bouille de l'autre, une voie lui fit arrêter son mouvement.

-Alors, on s'enfuit comme ça? dit l'homme au costard bleu...

Arencia vit le poing de la brune se préparer a rencontré son visage, visiblement, elle n'avait pas apprécier les paroles du Nuage, peut-être trop directe a son goût, mais la vérité faisait parfois du bien a attendre, et si, les gens ne sont pas prêts à attendre la vérité des choses, alors ils ne sont pas mature. Elle se prépara à son tour à répliquer à l'attaque en soulevant sa jambe gauche, mais une voix les fit toutes deux se stoppées.

- Alors, on s'enfuit comme ça ? dit l'homme au costard bleu.

Arencia surchauffa, elle s’avança vers lui, poussant la brune de son chemin, l'ayant assez vu pour le moment.

- Tu vas voir qui va s'enfuir la queue entre le jambes, les membres d'une sous-famille, n'ont pas d’importance pour moi, c'est pourquoi que je vais te tuer sur le champ.

Arencia vit l'homme la regarder ironiquement, apparemment il ne prenait pas ses paroles au sérieux.Elle lui frappa le visage de sa jambe gauche. L'homme cracha du sang sur sur pantalon rouge...
Elle se demanda vaguement si, la brune avait écoutée son conseil et était partie. Elle pensait que non, mais elle espérée un miracle.

- Tu vas voir qui va s'enfuir la queue entre le jambes, les membres d'une sous-famille, n'ont pas d’importance pour moi, c'est pourquoi que je vais te tuer sur le champ.

Et tandis qu'elle entendis l'homme cracher, Aniceta partit retrouver le Napolitain. Têtue elle était, têtue elle resterait.
Elle ouvrit une petite porte d'où elle entendait des "Misère dé misère!!!". Surement le patron de celle-ci.

-Monsieur?se risqua-t-elle en ouvrant la porte
-Toi, tu sors d'ici et tout dé suite!!!!
"Buté", pensa la "butée". C'est à ce moment qu'elle fit intervenir ses "talents de comédienne"...
-Monsieur... c'est moi qui ai amené ces hommes ici! Je suis entièrement coupable! Votre serveuse à n'as fait que vous protéger, si quelqu'un doit subir les conséquence de votre colère, c'est moi, et moi seule! Si vous le désirez, je pourrais même vous rembourser tout les dégâts matériel, et pourquoi pas, vous trouver de la main d'œuvre. Alors, s'il vous plait, ne faites aucun tort à... à...
-A cette fichou Arencia?
-Voilà! A Arencia... fini-t-elle, presque aussi émue qu'après une représentation.

Et tandis que le Napolitain semblait réfléchir posément et que la Sicilienne se demandais pourquoi une fille s'appelait "Orange", la porte grinça...

Arencia se retourna, pensant voir la brune attendre sagement qu'elle est finie son combat contre l'homme en bleu, mais non. La brune n’était pas là. Cherchant du regard la tempête, elle remarqua la porte par laquelle son supérieur était parti entre-ouverte. Ne pouvant pas distinguée l’intérieur, elle craignait le pire, c'est à dire que la sale gosse pas sage qu’était l'autre gardienne soit allée voir le grincheux Napolitain.
Son attention troublée, elle ne vit pas l'homme en bleu sortir une arme à feu de sa veste, elle ne le remarqua que lorsque une balle rentra en contact violent avec son épaule droite, ce qui lui arracha un couinement de douleur.
Arencia lorgna sur sa blessure suintante, le sang s'en écoulé avec abondance.
Son pied rencontra le ventre de son opposant, avec toute la rage qu'elle avait. Cette soirée était définitivement horrible, tout cela était la faute de l'autre gardienne, dont elle ne connaissait pas le nom, et l'argentée n'en avait que faire du dit nom. Ce qui l'importait à cet instant était de prendre l'arme au Boss pour limiter les dégâts.
Se retournant faisant entièrement face à l'homme au sourire encore plus narquois, qui lui pointa le bout de son pistolet dans la hanche. Arencia dans un mouvement souple retourna l'arme et accessoirement le bras de son assaillant qui craqua dans un bruit sourd sous la pression. Le bleu lâcha son arme dans un cri aigu, pestant contre Arencia qui ramassa le gun et projeta le Boss contre un mur. Il ne réussi pas à se relevé. Arme en main, bras saignant elle prit la même direction que la brune plus tôt.
Ouvrant la porte de son bras valide, elle tomba sur la Tempête en train de discutée avec son patron, qui avait l'air en profonde réflexion.
Arencia leva l'arme, oubliant qu'elle la portée, et pointa la brune, le visage énervé.

- Toi ! Je t'avais demandée quoi ?! Je vois que, mon sentiment se renforce, tu n'es qu'une sale gosse, je peut comprendre que tu veule réparé tes erreur, mais là, tu les aggrave, de mon avis tu n'es pas assez mature pour comprendre cela, alors maintenant part ! Je ne veux plus avoir à croisé ta route, me battre contre toi serait une perte considérable de temps, j'ai des blessures infligés à cause de toi à soignés. Quand à vous monsieur Altiero je suis désolée du tort que j'ai pu causée à votre établissement, je comprendrais que vous ne vouliez plus de moi.

Elle reporta son attention sur la brune, et entre appuya sur la gâchette sous l'effet de la colère, sans néanmoins tirée, attendant un départ de son opposante.

- Toi ! Je t'avais demandée quoi ?! Je vois que, mon sentiment se renforce, tu n'es qu'une sale gosse, je peut comprendre que tu veule réparé tes erreur, mais là, tu les aggrave, de mon avis tu n'es pas assez mature pour comprendre cela, alors maintenant part ! Je ne veux plus avoir à croisé ta route, me battre contre toi serait une perte considérable de temps, j'ai des blessures infligés à cause de toi à soignés. Quand à vous monsieur Altiero je suis désolée du tort que j'ai pu causée à votre établissement, je comprendrais que vous ne vouliez plus de moi.

La nommée Arencia pointa son arme - un superbe CZ 75 1ST argenté avec une crosse noire, presque le même que celui Gino - sur Aniceta, la lueur de la colère émanant d'elle. Elle la regarda, posément, sans bouger un seul instant. La mort, elle l'avait croisée plusieurs fois, de la roulette russe à la course poursuite dangereuse. Alors, c'est pas parce qu'une serveuse mafieuse la menaçait de mort qu'elle allait s'inquiéter, loin de là.
Leurs regards se soutint pendant de longue minutes, et la Sicilienne, sans savoir pourquoi, lui fit un grand sourire tout ce qu'il y a de plus sincère, une lueur d'amusement dans ses yeux.

-Et ouais, je suis une sale gosse, mais c'est pour ça qu'on m'aime. dit-elle.

Elle se retourna vers le patron de "Blanche-Neige", et continua de lui parler.

-Vous voyez! C'est de ma faute tout ce qui s'est passé, et j'en suis désolée. Je n'arriverais jamais à maintenir ces hommes. Voyez la réaction de votre employée, elle veut me chasser du bar pour que tout redevienne paisible. Maintenant, veuillez m'excuser monsieur... Altiero? Je reviendrais dans les jours prochains pour vous rembourser les dégâts. Mais gardez votre serveuse, on en voit peu des comme ça. Sur ce... elle avança un peu avant de finir "Arivederci!"

La brune soutint le regard blanchâtre d'Arencia pendant quelques minutes avant de sourire de toutes ses dents à l'argentée qui n'en devint que plus violente et pressa encore plus sa gâchette en grinçant des dents. La brune, lueur amusée dans les yeux lui adressa la parole.

- Et ouais, je suis une sale gosse, mais c'est pour ça qu'on m'aime.

Arencia la détailla des yeux, vraiment, elle ne comprenais pas que quelqu'un comme elle puisse faire parti de la famille Quadrifoglio, dans tout les cas, si elle continuait comme ça, Arencia ne risquait pas de l'aimée, ça c’était tout tracé, les deux n’était pas faites pour s'entendre. La brune s'adressa ensuite à son patron.

- Vous voyez! C'est de ma faute tout ce qui s'est passé, et j'en suis désolée. Je n'arriverais jamais à maintenir ces hommes. Voyez la réaction de votre employée, elle veut me chasser du bar pour que tout redevienne paisible. Maintenant, veuillez m'excuser monsieur... Altiero? Je reviendrais dans les jours prochains pour vous rembourser les dégâts. Mais gardez votre serveuse, on en voit peu des comme ça. Sur ce...
Elle avança légèrement, la blanche suivant ses mouvements, et finit par un "Arrivederci".

Avant qu'elle ne parte Arencia lui adressa une dernière fois la parole.

- Sale gamine... La prochaine fois qu'on se rencontrera, j’espère dans longtemps, abstiens toi de vouloir te mêlée de choses qui ne concernent que moi, voit-tu, si tu voulait que je te déteste tu as bien choisis tes gestes et paroles, à l'instant même où tu as commencer à vouloir "m'aider", je me suis mise à te haïr, alors, ne met plus les pieds ici, je peux très bien payée toute seule je suis loin d’être pauvre, ce sera la mienne faute pour les dégâts. Maintenant excuser moi monsieur, mais j'ai une blessure à bander, et la vue de cette immature m’insupporte extrêmement.

L'argentée fit une petite courbette vers son patron et sourit de toute ses dents, dans un sourire carnassier à la Tempête. Prenant la direction de l'escalier menant à son appartement elle mit l'arme dans sa poche, qui sait, cela pouvait toujours servir, il faudra qu'elle pense à aller acheter des balles, sans adressée le moindre regard à la gamine. Elle fit le tour mental de sa pharmacie, se demandant comment soigner tout çà, disparaissant de la vue de tous...

- Sale gamine... La prochaine fois qu'on se rencontrera, j’espère dans longtemps, abstiens toi de vouloir te mêlée de choses qui ne concernent que moi, voit-tu, si tu voulait que je te déteste tu as bien choisis tes gestes et paroles, à l'instant même où tu as commencer à vouloir "m'aider", je me suis mise à te haïr, alors, ne met plus les pieds ici, je peux très bien payée toute seule je suis loin d’être pauvre, ce sera la mienne faute pour les dégâts. Maintenant excuser moi monsieur, mais j'ai une blessure à bander, et la vue de cette immature m’insupporte extrêmement. "
La fille partit, et Aniceta ne la revit plus ensuite, quand elle aida le patron à "déloger" les quelques bandit soi-disant mafieux, qui avait pris assez peur suite au carnage du nuage. La panthère, elle, attendait tranquillement dehors, et la brune s'en alla rejoindre l'hôtel où elle devait passer sa dernière nuit...

~~~

Une semaine plus tard, Aniceta arriva tôt le matin dans le même petit bled perdu ou elle avait rencontré la gardienne du nuage, Arencia. Elle avait quand même tenu à rembourser une -grande- partie des dégâts, sans que l'autre ne le sache. Elle se savait haïe, et que rien n'empêcherait la gardienne du nuage de la tuer, mais elle s'en fichait royalement. En voyant de loin le pub dans lequel elle s'étaient rencontrée, elle dépêcha Pineapple, encore chaton, d'apporter l'important chèque et puis de revenir aussi tôt. Le chaton fit pour une fois ce qu'on lui demandait, et ce bien gentiment. "Trop bizarre" pensa la "comédienne" en s'allumant une clope. Un nouveau paquet, des L&M. Elle repartit, son "chaton" et la fumée blanche la suivant comme son ombre. Etrangement, elle sentait un regard derrière elle, mais quand elle se retourna, il n'y avait rien. Sans doute une impression... elle ria, et s'en alla pour de bon, se rappelant que sa mère, avec qui elle s'était finalement réconciliée, l'attendait pour demain matin.

Une semaine passa, Arencia reprit son train train quotidien après une longue explication avec son patron, qui apprit que c’était une mafieuse, et qui la considérée différemment maintenant. Elle garda son travail, redoublant d'efforts pour arriver à rembourser les dégâts.
Ce matin là, elle s’était mise au travail tôt, ayant un bar à préparer pour la soirée dansante organisée. Et puis, elle avait une sorte de pressentiment. Comme si quelque chose de désagréable allait se produire, comme lui disait son maître :
"Arencia, écoute toujours tes intuitions".
Et quelle ne fut pas sa surprise quand, en train de nettoyer une table près des fenêtres, elle vit une silhouette connue se dessinait devant le Pub.
La gamine était revenue. Rangeant son torchon, Arencia se plaça dans l'ombre, s'attendant à voir la Tempête brune déboulée, mais non. Seul, un chaton, qu'elle reconnu comme étant la Boite Arme de l'autre, tenant un morceau de papier. Elle s'approcha de l'animal, prit le papier, qui était un chèque, et le chat reparti vers sa maîtresse que Arencia détailla quelques instants avant de se relevée.
Elle regarda le chèque, la somme était assez conséquente. L'argentée jubila, elle avait bien fait d’écoutée ses instincts. C’était une aubaine. Elle regarda une dernière fois le papier, et en souriant, le déchira sans aucuns états d’âmes. Après tout, elle avait prévenue la brune de ne pas se mêlée de se qui ne la regarde pas.
Et la blanche reprit son travail, un sourire vainqueur sur les lèvres, effrayant quelque peu son patron, qui ne sut jamais le pourquoi du comment...

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Aventures à suivre ~